Une nouvelle application pour améliorer ses cultures fourragères
Que ce soit des données sur les rendements et sur la qualité de la récolte ou encore sur leurs stocks de foin, et ce, en comparaison avec les autres, les…
Prévention et gestion des mycotoxines en agriculture
Les mycotoxines sont des toxines produites par des champignons microscopiques qui peuvent se développer dans les cultures sur pied ou lors de l’ensilage. Elles représentent un danger sérieux pour la santé des animaux qui les consomment, et une gestion rigoureuse est nécessaire pour éviter leurs effets néfastes.
Un pâturage autorenouvelé, c’est possible!
L’élevage a mauvaise presse. Avec les changements climatiques qui se font sentir, la production de viande bovine est souvent pointée du doigt.
Recherches sur le panic érigé : vers une rentabilité et de nouveaux usages
Le panic érigé, cette graminée – aussi appelée millet vivace – dont la production est encore marginale au Québec, suscite actuellement l’intérêt des chercheurs.
Changement de garde à la présidence du CQPF
Un changement de garde s’est produit au Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF) alors qu’après sept ans à la présidence, le producteur Alphonse Pittet tirait récemment sa révérence au profit…
L’art des rations hautement fourragères
Les temps sont difficiles et la pression financière est élevée sur les fermes laitières.
Mélanges fourragers au champ : De multiples bénéfices… si les conditions gagnantes sont là
Adoptés par une majorité de producteurs de plantes fourragères au Québec en raison de leurs bénéfices, les mélanges multiespèces font l’objet de plusieurs travaux de recherche qui visent à mieux…
Les foins commencent avec une dose de scepticisme
Après avoir sorti sa presse à balles de l’hibernation, Jean Laliberté est resté un peu sur sa faim lors de sa première coupe, le 25 mai.
Virentia accroît ses achats de luzerne destinée à l’alimentation humaine
La compagnie Virentia, qui appartient majoritairement au géant Premier Tech, augmente sa transformation de luzerne québécoise. « Quand on a commencé en 2021, on récoltait environ 200 hectares.
Le phosphore, c’est la vie!
On parle tellement des surplus de phosphore et des risques pour l’environnement qu’on oublie que c’est un élément essentiel à la vie et non un produit toujours néfaste.