Les températures plus chaudes cet automne ont eu un effet sur les abeilles qui sont restées actives plus longtemps en novembre. Photo : Gracieuseté d’Intermiel
Apiculture

Les automnes plus chauds forcent les apiculteurs à adapter leurs méthodes

Patricia Blackburn

Le parasite Varroa destructor a encore lourdement frappé dans les ruchers québécois cette année, avec des pertes hivernales moyennes de 40 %, selon les données colligées par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec auprès des apiculteurs.