Page à Pierre 30 mai 2024

Édition du 29 mai 2024

Dans l’édition du 24 avril dernier, la famille Turcotte a eu le très grand bonheur de reconnaître sur une photo leur bon papa aujourd’hui âgé de presque 95 ans. Il se nomme Charles Turcotte, de Rimouski, dans le secteur du Bic. Il a conduit le camion de lait sur cette photo de 1966 à 1973 pour la compagnie de Pierre-Paul Chénard : « Il a été agriculteur toute sa vie en même temps que camionneur pour le transport du lait. Ça mérite d’être souligné, n’est-ce pas? » Voilà qui est fait, et salutations à M. Turcotte.


L’Institut de technologie agroalimentaire du Québec, de Saint-Hyacinthe, a inauguré un nouveau jardin où la conservation de la nature existante est préservée. Nommé « Au cœur du boisé », ce jardin a été réalisé par les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale. C’est magnifique et ça vaut le détour aux Jardins Daniel A. Séguin.


C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décès d’un monument dans le monde agricole, Michel Lemire, de Baie-du-Febvre. Rencontrer M. Lemire était toujours impressionnant. C’était un homme fier de sa famille, fier de son métier d’agriculteur et engagé dans sa communauté agricole. Mes plus sincères sympathies à Lise Desruisseault, et à toute la famille.



Un autre monument qui nous a quittés, Claude Bernard, de Saint-Hilaire. Convaincu que l’action collective est la base de l’équité et de la justice sociale, il l’a défendue tout au long de sa vie. Il a transmis à ses enfants et petits-enfants les valeurs d’intégrité, de détermination, de travail et le sens du devoir. Mes plus sincères condoléances à toute la famille.


On savait que Jean-Pierre Audesse, de Sainte-Marguerite, était un gars déterminé et solide dans tout ce qu’il entreprend, et le taekwondo ne fait pas exception. Il mérite un coup de chapeau bas et fleuri pour sa ceinture noire 3e dan.


En plus de son implication à la ferme avec son conjoint Alexandre Larocque et de son rôle de super maman, Marilyne Lalumière, d’Acton Vale, poursuit son implication avec l’organisme Jeunes en santé, où elle occupe un emploi à temps plein. Elle est en forme. On ne peut pas en douter.


Joyeux anniversaire à …


  • 29 mai
  • Marie-Ève Bellemare, Plessisville
  • Olivier Dupont, Rimouski
  • Antoine Laurin, Brownsburg-Chatham
  • Samuel Migneault, Rimouski
  • Suzelle Caron, Saint-Éloi
  • Roselyne Gobeil, Clermont
  • 31 mai
  • Jean-Rémy Morin, Sainte-Hélène-de-Kamouraska
  • Louis Forget, Laval
  • Michel Raymond, Saint-Alexandre
  • Luc Gélinas, Yamachiche
  • 2 juin
  • Jean-Luc Leclair, Notre-Dame-du-Bon-Conseil
  • Jacques Vincent, Acton Vale
  • Mireille Dutil, Saint-Anselme
  • Maxime Verner, Saint-Stanislas-de-Kostka
  • 4 juin
  • Thomas Charrette, Rigaud
  • Jocelyn Côté, Drummondville
  • 30 mai
  • François Béland, Laval
  • Jean-Pierre Rodier, Saint-Hyacinthe
  • Michel Letendre, Saint-Hyacinthe
  • Marie-Claude Bernard, Saint-Basile
  • Audrey Gauthier, Deschambault-Grondines
  • 1er juin
  • Catherine Roy, Compton
  • Sylvie Martel, Belœil
  • Caroline Pelletier, Bedford
  • Jean Laliberté, Saint-Hyacinthe
  • Louis Lord, Yamachiche
  • 3 juin
  • Richard Ferland, Sainte-Marie
  • J-P Michon, Saint-Hyacinthe
  • Samuel Bernier, Honfleur
  • Claudia Parent, Saint-Sylvestre
  • Jessie Talbot, Saint-Édouard-de-Lotbinière

Parlant de maman en forme, Émilie-Sophie Parenteau, de L’Avenir, relève chaque jour le défi d’être maman, de se tenir en forme et de gérer sa ferme laitière. Elle est vraiment impressionnante. En mai, elle a même commencé à courir 60 kilomètres pour ramasser des fonds pour la Fondation CHU Sainte-Justine.


Marc-Antoine Pelletier de la ferme Les Délices du Rapide, à Saint-Hyacinthe, a plus d’un tour dans son sac. J’aime beaucoup jaser avec lui. Étant en régie biologique, il travaille avec les prédateurs naturels dans son verger de camerises. C’est le cas des hirondelles bicolores qui, année après année, reviennent s’installer dans leurs nichoirs dans le verger. Ces oiseaux sont insectivores. Ainsi, ils offrent le meilleur des deux mondes : une diminution des insectes présents au champ et un contrôle des oiseaux frugivores, puisqu’ils sont très territoriaux.


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