Coup de chapeau bas et fleuri à Roxanne Pellerin, de la Ferme Pellerin, à Shawinigan, qui a réussi son premier marathon. C’est 42 kilomètres, quand même, et il faut s’entraîner. Elle a couru et a terminé celui d’Ottawa.

Parlant de gens qui sont en forme, il ne faut pas oublier Patrick Lareau qui, en plus de participer à plusieurs courses, fera désormais partie de l’équipe de l’UPA Montérégie à titre de directeur des affaires institutionnelles.

Chez Asperges Primera, à Saint-Thomas, Mario Rondeau, quand il fait très chaud, réunit sa super équipe à l’ombre à la fin de la journée pour prendre un rafraîchissant et des croustilles, question de bien terminer la journée.

Ulric Beaulieu, de La Pocatière, est un papa bien fier, et avec raison. Sa fille Sarah-Maude a entamé sa carrière  récemment et a vécu sa première journée officielle à titre de pharmacienne.

Parlant de fierté, que penser de l’exploit de Maèva, la filleule de Lisbeth St-Cyr, de Mauricie, qui, à 15 ans, porte maintenant sa ceinture noire en jiu-jitsu.  Elle est l’idole de sa marraine pour sa persévérance, son courage et sa volonté incroyable.

Joyeux anniversaire à …

Félicitations à Justin Létourneau, à Abygaëlle Turcotte, à Jasmine Leclerc et à Maxime Geindre, de l’Institut national d’agriculture biologique (INAB), inscrits au profil productions animales, qui ont chacun et chacune remporté une bourse de 250 $, gracieuseté du Centre d’insémination artificielle du Québec (CIAQ).

Parole de Bart Govaerts, de Noyan. Il y a encore du très bon monde sur la terre, et même dans un dépanneur. Il raconte une balade à moto qu’il a faite avec sa conjointe. Il arrive à Sutton, se stationne et mange sur une petite terrasse. De retour aux motos, la sienne ne démarre pas. Il va dans un garage pour acheter des câbles et on lui répond : « Désolé, on n’en vend pas, prend une chance au dépanneur. » Au dépanneur, il demande au monsieur, qui n’en vend pas non plus, mais qui lui dit  :  « Attends, je vais t’aider. » Il va dans sa voiture pour prendre ses câbles et les donne à Bart. Il lui dit : « Vas-y et ramène-les-moi après. » « Le type ne me connaît pas et me fait confiance, donc je fais mes affaires et reviens lui porter, explique Bart. J’ai voulu le payer pour le remercier de son aide si précieuse et il m’a répondu  : ‘‘Tu es un humain comme moi et tu avais besoin d’aide, donc je ne veux pas que tu me donnes ton argent.’’ » Comme dit Bart : « Si vous passez par Sutton et que vous voulez encourager quelqu’un de bien, allez au dépanneur BONISOIR et encouragez son commerce. »

Chaque fois que je passe devant la Ferme Dubuc Charolais, à Sainte-Eulalie, je me demande toujours combien de gens peuvent s’arrêter en une année pour photographier leur vache emblématique sur le toit d’une remise.

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