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Ça y est, l’attente est terminée! La cinquième saison de L’amour est dans le pré envahira nos écrans dès le 19 janvier à 20 h, sur les ondes de Vtélé.
Que nous réserve la cuvée 2017? L’amour reviendra-t-il dans le pré cette année, après une saison où aucun agriculteur n’a trouvé l’âme sœur?
Aurons-nous encore droit à une controverse digne du #Juliagate alors que deux candidats avaient avoué se fréquenter avant l’enregistrement de l’émission? La pauvre Julia avait d’ailleurs eu le cœur brisé après qu’Alexandre P. eut choisi d’écouter son cœur et de choisir Liliane pour le voyage final.
Tant de questions qui demeurent sans réponses, à commencer par l’identité des candidats eux-mêmes! En effet, pour l’instant, huit finalistes, dont deux filles, sont toujours dans la course, mais seulement cinq d’entre eux seront choisis comme candidats officiels à l’émission.
Ces candidats choisiront à leur tour trois prétendants chacun, qu’ils accueilleront à leur ferme dans le but d’y nouer des liens et, évidemment, d’y trouver l’amour!
Chose certaine, La Terre de chez nous suivra attentivement l’émission et en offrira un compte rendu à ses lecteurs chaque semaine dans ses pages.
Surveillez d’ailleurs notre entrevue avec l’animatrice de l’émission Marie-Ève Janvier dans l’édition papier du 18 janvier de La Terre.
Une chose à la fois, cependant. Revenons à nos finalistes. Voici donc, sans plus tarder, les huit agriculteurs toujours dans la course.
Typhaine, 32 ans
D’origine bretonne, Typhaine s’est établie à Val-des-Monts (Outaouais) il y a huit ans. Elle y a fait l’acquisition de chevaux afin de faire de la formation équestre. Elle fait aussi de la formation canine. Dégourdie, elle n’a pas peur de s’attaquer à de gros projets, dont celui de construire sa propre écurie avec un manège intérieur.
Olivier, 23 ans
Olivier, un producteur laitier de Warwick (Centre-du-Québec), a toujours plusieurs projets en tête afin d’améliorer sa ferme. Il se décrit d’ailleurs comme un entrepreneur ambitieux plutôt que comme un agriculteur. Même s’il veut que sa douce moitié s’engage à la ferme avec lui, il ne partagerait pas sa moissonneuse-batteuse avec la première venue!
Michael, 23 ans
Michael est copropriétaire de la ferme laitière familiale avec son père, sa mère et un de ses frères, à Saint-Joseph-de-Beauce (Chaudière-Appalaches). L’entreprise, en pleine expansion, possède trois fermes, plusieurs terres ainsi qu’une érablière. Ce qui allume Michael dans son métier est bien sûr l’entrepreneuriat et la gestion, mais aussi et surtout le fait d’être maître de son avenir.
Maxime, 27 ans
Employé de la ferme familiale à L’Ange-Gardien (Montérégie), Maxime assurera la relève avec son frère et sa sœur d’ici quelques années. Il vit seul dans sa maison, qu’il aime entretenir pour la rendre accueillante. Maxime est un jeune agriculteur responsable qui aime que les choses soient faites dans les règles de l’art.
Gabriel, 27 ans
Gabriel est copropriétaire, avec sa mère et ses deux frères, de la ferme bovine la plus au nord du Québec, à Val-Paradis (Abitibi). Passionné d’agriculture, il a choisi de reprendre la ferme familiale afin de l’amener, avec ses frères, à un autre niveau en la faisant croître. L’hiver venu, il bûche son bois, comme ses ancêtres l’ont fait, puisque sa famille et lui possèdent également plusieurs terres à bois.
Étienne, 35 ans
Étienne, en compagnie de son frère, sera membre de la quatrième génération à être responsable de la ferme familiale lorsque son père prendra sa retraite. Très engagé dans son village de Sainte-Sabine-de-Bellechasse (Chaudière-Appalaches), notamment en tant que pompier volontaire, Étienne est aussi amateur de sensations fortes : il participe à des derbys de démolition et à des courses de tracteurs à gazon.
Cloé, 26 ans
Cloé est employée à temps plein de la ferme familiale à Sainte-Anne-des-Plaines (Laurentides), un domaine immense de 980 hectares où on trouve la maison de ses grands-parents, celle de son oncle et celle de ses parents. Elle travaille au champ et est également responsable de l’administration de la ferme. Mordue de sports, elle a souvent fait ses rencontres amoureuses sur le terrain de basketball situé près de chez elle.
Anthony, 23 ans
Fraîchement diplômé de l’Université Laval en agronomie, Anthony est de retour dans sa région natale d’Hébertville (Saguenay–Lac-Saint-Jean) et est prêt à reprendre la ferme familiale, en compagnie de son frère aîné. Sur le plan professionnel, il partage son temps entre la ferme et son travail d’agronome. Il a pour projet de se bâtir une maison sur les terres familiales, comme son frère l’a fait il y a quelques années.
Guillaume Cloutier écrit pour La Terre de chez nous.