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Pour démarrer une entreprise à petite échelle dans le domaine du vin ou du cidre et assurer sa pérennité, il faut garder les deux pieds sur terre et retrousser ses manches!
Certains ont sillonné les chemins de la Bourgogne, de la Toscane et rêvent du jour où ils siroteront le vin rouge en barriques ou le cidre délicat qu’ils auront concocté sous un soleil radieux…
Loin de nous l’idée de vouloir éteindre la flamme d’un tel projet enivrant, mais… « Il faut beaucoup de courage et ce n’est pas un rêve! » insiste Jean-Paul Martin, consultant en viticulture et vinification. « Et avant de te promener avec ton verre de vin, t’as 40 heures de travail par semaine à faire. »
Afin de mieux définir son projet et de s’assurer que le mode de vie convienne, M. Martin suggère de s’outiller d’emblée d’une bonne formation. En plus de démystifier les rudiments de la viticulture, la formation permet aux apprentis de réaliser qu’ils doivent s’entourer de gens compétents pour réussir, et ce, avant même d’acheter leur terre.
À lire dans le numéro du magazine Vivre à la campagne – Automne 2014 maintenant en kiosque.