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Oui, Terres à Terres, et attendez-vous à voir du pays! À travers cette chronique bihebdomadaire, UPA Développement international (UPA DI) vous fera voyager de terres en terres, à travers l’Afrique de l’Ouest, Haïti et le El Salvador.
Nous y découvrirons des agricultures fort différentes de la nôtre, mais avec lesquelles nous partageons un grand nombre d’enjeux.
Qui de mieux qu’un producteur agricole pour en comprendre un autre? La coopération de paysans à paysans, terres à terres, est au centre des actions d’UPA DI. C’est pourquoi cette chronique fera une place d’honneur aux productrices et producteurs directement impliqués dans cette coopération, de part et d’autre de l’océan. On y présentera aussi les projets d’UPA DI en terre africaine et, surtout, ce qu’ils peuvent changer concrètement, de façon terre à terre, dans la vie des producteurs, de leurs familles et de leurs organisations. Enfin, on abordera un certain nombre d’enjeux communs à tous les gens de la terre, au Sud comme au Nord, comme le commerce international ou les questions agroenvironnementales. Pour ce faire, nous apporterons des pistes de réflexion inspirées de nos 18 ans d’expérience à travailler au développement de l’agriculture dans les pays du Sud, tout en nous appuyant, toujours terres à terres, sur les leçons apprises des approches et stratégies québécoises.
Le milieu agricole québécois s’intéresse de plus en plus aux questions de développement international. Lors d’un sondage réalisé auprès des délégués au Congrès de l’UPA 2010, 32 % des répondants se sont dit intéressés à s’impliquer personnellement dans les activités d’UPA DI, certains en recevant des stagiaires étrangers sur leur ferme, d’autres en participant à des missions à l’étranger ou en contribuant de diverses façons au financement de nos projets. Nous recevons souvent des commentaires de gens qui aimeraient obtenir plus fréquemment de l’information sur nos activités et c’est d’ailleurs ce qui nous a amenés à lancer cette chronique. Nous espérons que vous prendrez autant de plaisir à la lire que nous en trouvons à l’écrire tandis que nos pieds foulent terres après terres. C’est un rendez-vous!