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Le 30e Salon de l’agriculture de Saint-Hyacinthe a ouvert ses portes le 12 janvier, accueillant 10 104 visiteurs.
Les quatre pavillons affichent le nombre maximal d’exposants que peut contenir le Salon, soit 304. Le directeur Léon Guertin s’attend à un achalandage de 10 000 à 12 000 personnes.
Au menu cette année, un concours pour célébrer les 30 ans du Salon. « Les visiteurs prennent des coupons chez les 89 exposants participants. Et nous faisons tirer 1 000 $ par jour, que le gagnant ira dépenser chez l’exposant participant de son choix », explique le directeur, qui était également associé au Salon à ses débuts, il y a 30 ans.
La relève fait la fête!
Le Salon a réservé un espace à la relève agricole. Les jeunes agriculteurs auraient pu y tenir des conférences ou des ateliers, mais ils ont plutôt installé un éclairage coloré et ont invité un disc-jockey. « On se parle toute l’année sur les médias sociaux. Ce que l’on veut, c’est se rencontrer en chair et en os et réseauter », dit en souriant David Beauvais, un producteur laitier de Magog.
De nombreux jeunes ont répondu à l’appel, sûrement attirés par la bière et les saucisses gratuites, une commandite pour le moins appréciée.
David Beauvais, président du Syndicat de la relève agricole de l’Estrie, à propos de l’activité réseautage
La machinerie demeure en tête d’affiche du Salon. À l’entrée, l’imposant John Deere articulé monté sur des chenilles donne le ton. Et que dire du nouveau New Holland T7 HD? Plus loin, une minipresse à balles rondes de 2 pi x 3 pi pique la curiosité. Des épandeurs d’engrais de précision à la volée attirent également de nombreux producteurs.
Fait intéressant, « les exposants nous disent que les producteurs laitiers sont plus acheteurs depuis que les négociations du PTP sont terminées. Les producteurs de grains ont également connu de très bons rendements. Et ça paraît; ils partagent la recette de leur succès avec leurs confrères et ils sont acheteurs eux aussi. L’ambiance est bonne », assure M. Guertin, le grand manitou du Salon.
Plus de détails dans l’édition du 20 janvier de La Terre de chez nous