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La députée caquiste de Mirabel, Sylvie D’Amours, estime « qu’on ne peut donner carrément le pouvoir de dézoner des terres agricoles au monde municipal », contrairement aux propositions faites par des députés libéraux à la Commission de l’agriculture, des pêcheries, de l’énergie et des ressources naturelles (CAPERN).
Aux yeux de la porte-parole en agriculture de la Coalition Avenir Québec, « il faut une tierce partie capable d’évaluer la pertinence de dézoner ou de morceler les terres agricoles, un patrimoine et le garde-manger des Québécois qu’il faut conserver pour les générations futures ». « La CPTAQ doit donc rester », a-t-elle déclaré à la Terre en entrevue aujourd’hui.
Confié aux villes, « qui font chacune leur petite affaire et qui ont un mandat différent, le patrimoine agricole va fondre sous la pression urbaine notamment », a-t-elle illustré.