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Le cri du cœur lancé en mai par Rachèle Tremblay, une étudiante en médecine vétérinaire forcée de poursuivre sa formation à l’étranger, a suscité une mobilisation du milieu. Une pétition de 333 signataires provenant de divers horizons, dont de nombreux propriétaires de chevaux ainsi que des vétérinaires, réclament d’une même voix une action de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry. « Le Québec est la seule province qui ne soutient pas financièrement ses étudiants qui doivent aller se former ailleurs à cause d’un système rigide et non adapté au besoin de main-d’œuvre criant », déplorent-ils. Ils incitent la ministre à « au moins » soutenir financièrement « cette étudiante talentueuse » afin de lui permettre de poursuivre sa formation dans un contexte où le Québec traverse une importante pénurie de vétérinaires, notamment dans le secteur équin et des grands animaux.