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Lors d’un événement médiatique organisé à Lévis, le 20 octobre, et rassemblant notamment des groupes citoyens, le président de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Martin Caron, a annoncé que son organisation comptait demander le retour en zone verte de la totalité des terres de Rabaska. Pourtant, à la mi-septembre, le président de la Fédération régionale de la Chaudière-Appalaches, James Allen, avait laissé entendre qu’il pourrait laisser aller la portion qui n’est pas en production actuellement, soit environ la moitié des terres.
Interrogé sur ce changement de cap, M. Caron a expliqué que les nouvelles attentes font suite à l’analyse globale de la situation. « La Ville de Lévis veut un quartier industriel et Québec veut un projet industriel. Le territoire se retrouverait morcelé », a-t-il exprimé. À l’événement, James Allen a pour sa part déclaré que « lorsqu’on est pris en sandwich, on finit toujours par être mangé ».