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La plupart des usines de transformation de viande du pays ont retrouvé le droit d’exporter leurs produits vers la Chine, qui avait suspendu le permis de plusieurs d’entre elles à différents moments pendant la pandémie de COVID-19. C’est le cas notamment des quatre usines de transformation de viande de porc d’Olymel au Québec, où l’emballage des produits destinés à ce pays ont repris depuis l’automne, confirme Sylvain Fournaise, vice-président sécurité alimentaire, services techniques et recherche et développement chez Olymel.
L’usine d’Olymel de Red Deer, en Alberta, dont le permis d’exportation avait été suspendu pendant la plus longue période, soit trois ans, a aussi pu retrouver son accès vers ce pays très lucratif pour l’exportation des parties moins nobles du porc, comme le cœur et les rognons. « Oui, ça aide [financièrement], car ça permet de valoriser toute la carcasse. Quand la Chine a fermé son marché pour ces produits, ces parties devaient être envoyées à l’équarrissage, puisqu’elles sont très peu consommées sur le marché canadien », spécifie
M. Fournaise.