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De couleur similaire à celle du bleuet, la camerise a une forme allongée. Son goût est très amer et change énormément d’une variété à l’autre. Au Saguenay–Lac-Saint-Jean, la récolte se fait sur deux semaines, de la fin de juin au début de juillet.
Comme la plupart des petits fruits, la camerise a des propriétés antioxydantes. Méconnue du public, elle pousse naturellement dans nos forêts. Des variétés nordiques, commercialisées par Végétolab, ont été développées en Saskatchewan pour la rendre plus agréable pour le palais.
Cette année, les 500 kg récoltés au Saguenay–Lac-Saint-Jean se sont écoulés sur le marché local. D’ici à quelques années, la majorité de la production prendra le chemin de l’Asie, d’où provient 90 % de la demande mondiale. D’ici à 6 ou 7 ans, 90 000 plants produiront de 2 à 3 kilos, ce qui laisse présager une récolte d’au moins 180 000 kilos en région.