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La nomination de François Gendron à l’Agriculture continue de susciter des commentaires positifs.
Après l’Union des producteurs agricoles (UPA), le Conseil de la transformation alimentaire et des produits de consommation (CTAC) et La Coop fédérée, c’est au tour de l’Association québécoise des industries de nutrition animale et céréalière (AQINAC) de faire l’éloge du député d’Abitibi-Ouest.
« Le secteur agricole et agroalimentaire peut se réjouir de l’importance que lui accorde la première ministre en lui dédiant un ministre d’expérience », a réagi lundi, dans un communiqué, le président du conseil d’administration de l’AQINAC, Christian Breton.
Il a ajouté : « Nous sommes heureux d’apprendre que le nouveau ministre désire rencontrer les différents acteurs du secteur. Pour qu’un tel exercice soit des plus efficients, tous les partenaires devront se concerter pour arriver à des solutions qui satisferont au mieux les besoins de tous ».
Rappelons que le président de l’UPA, Marcel Groleau, s’est réjoui, la semaine dernière, de l’entrée en scène d’un ministre qui s’occupera de souveraineté alimentaire. « Ça va se faire avec un ministre qui disposera des moyens pour y arriver. Mme [Pauline] Marois a tenu promesse », a-t-il dit.
La transformation
La PDG du CTAC, Sylvie Cloutier, s’est pour sa part dite « très heureuse et satisfaite » de la venue d’un « parlementaire aguerri et expérimenté » de la trempe de François Gendron.
« Il comprend bien le système, et on va lui demander une rencontre à court terme pour qu’on puisse lui brosser le portrait de notre secteur d’activités », a-t-elle commenté.
La Coop fédérée a, de son côté, parlé de « l’ascendant » du ministre de l’Agriculture sur ses collègues de l’Assemblée nationale. La coopérative envisage « avec plaisir » des discussions sur la question, notamment, de la promulgation tant attendue de la future politique agricole du Québec.
Parions que les principaux acteurs du monde agricole ont hâte de parler des « vrais dossiers » avec l’homme et le politicien âgé de 68 ans.