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QUÉBEC – Frédéric Marcoux, producteur laitier de Sainte-Marie, en Beauce, a assisté à la première journée d’audiences du 16 mars.
Il estime que les parlementaires sont plus ou moins bien outillés pour étudier la complexe question de l’accaparement des terres. Il croit par contre que l’intervention des jeunes aura un impact au sein de la communauté agricole, qui débat de la question depuis déjà un certain temps. Il a constaté que tous les intervenants ne s’entendent pas sur le pourcentage de propriété des terres, ce qui rappelle la nécessité d’un registre des transactions des terres agricoles.
© Pascal Ratthé