L’outrage au Parlement en délibéré
Il devient plus probable que l’Assemblée nationale se prononce sur la question d’outrage au Parlement du président de La Financière agricole.
Consultation sur le livre vert
La Terre suit de près les représentations des différents groupes ayant déposé des mémoires en vue des consultations sur la politique bioalimentaire.
La Financière fait des concessions
MAJ: De nouvelles mesures au programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) permettront aux entreprises agricoles de dégager des liquidités additionnelles de près de 50 M$.
La pression sur la zone verte demeure très forte
La protection et le développement du territoire agricole font partie des enjeux majeurs du Plan métropolitain d’aménagement et de développement (Plan) du Grand Montréal.
Une ancienne ministre libérale à la Régie des marchés agricoles
Important jeu de chaises musicales à la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec (RMAAQ) : l’ancienne ministre libérale Françoise Gauthier est nommée régisseuse et présidente de l’organisme gouvernemental.
Le ministre Corbeil confronté aux drames humains
Le ministre de l’Agriculture, Pierre Corbeil, a été confronté à plusieurs cas concrets de producteurs qui ont tout perdu par le critique de l’opposition officielle.
Pas de baisse de primes pour les secteurs en crise
Contre toute attente, les principaux secteurs agricoles en crise ne profiteront pas d’une baisse de primes d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA).
Le président de La Financière échappe à l’outrage
Le président de l’Assemblée nationale, Jacques Chagnon, n’a finalement pas décrété officiellement que le président de La Financière agricole était coupable d’outrage au Parlement. Dans une décision nuancée, M.
« La Financière est devenue un régime d’assurance privée »
La Financière ne joue plus son rôle auprès des producteurs agricoles, selon Pauline Marois. La Financière ne joue plus son rôle auprès des producteurs agricoles.
L’UPA derrière le plan d’aménagement de Montréal
Il faut cesser de voir les terres agricoles comme une banque de terrains pour le développement résidentiel et économique, plaide l’organisme.