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Nul besoin « d’ouvrir la loi » sur le zonage agricole pour la rendre plus efficace, affirme Bernard Ouimet.
« Mais il est important d’apporter des ajustements et de faire en sorte que le zonage agricole ne soit pas l’objet de conflits », précise, en entrevue à la Terre, l’ancien président de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).
Bernard Ouimet, auteur du rapport Protection du territoire agricole et développement régional – qui a fait grand bruit lors de sa parution, il y a six ans – aura l’occasion de s’exprimer sur ce sujet brûlant d’actualité, cet après-midi, à Québec.
« Je vais répondre aux questions des parlementaires, devant la CAPERN [Commission de l’agriculture, des pêcheries, de l’énergie et des ressources naturelles] », dit-il.
Il croit que des améliorations pourraient être apportées (à la CPTAQ) pour accélérer la prise de décisions. Il estime en outre qu’il faut favoriser « l’évolution d’une loi », sans chercher à tout chambarder.
Cette loi, c’est une pièce maîtresse pour la protection du territoire agricole, insiste-t-il.
Des travaux qui s’amorcent
La CAPERN entreprendra alors l’examen des orientations, des activités et de la gestion administrative de la CPTAQ. Ses travaux vont se poursuivre mardi prochain, avec les témoignages d’anciens commissaires, de dirigeants actuels et de l’Union des municipalités du Québec (UMQ).