Ce contenu est réservé aux abonné(e)s.
Pour un accès immédiat,
abonnez-vous pour moins de 1 $ par semaine.
S'abonner maintenant
Vous êtes déjà abonné(e) ? Connectez-vous
Le budget fédéral que s’apprête à déposer (le 21 avril) le ministre des Finances, Joe Oliver, réservera-t-il des surprises – agréables ou pas – au monde agricole?
Faut-il s’attendre à ce que le gouvernement prenne des engagements fermes pour soutenir les diverses productions?
Et les travailleurs agricoles étrangers auront-ils plus de facilité à venir dans les fermes pour combler le manque de main-d’œuvre?
En résumé : en cette année d’élections, le gouvernement Harper ménagera-t-il la chèvre et le chou pour ne pas effrayer son électorat?
Des signaux
Quoi qu’il en soit, le ministre Oliver a commencé à envoyer des signaux. Il parle d’un « budget équilibré » et il assure que les surplus vont servir à réduire la dette.
Des propos similaires ont été tenus par son homologue à Québec, Carlos Leitao, lorsqu’il a dévoilé les orientations budgétaires du gouvernement Couillard, le 26 mars.
Les producteurs ont toutefois déchanté. Dans ce budget de l’équilibre, il y avait des mesures de compressions qui touchaient l’agriculture.
Rappelons que le budget réservé à l’Agriculture, au Québec, est en baisse de 14,5 %. À elle seule, la Financière agricole absorbera 150 M$.
La Terre sera à Ottawa, dans deux semaines, pour « éplucher » le volumineux document budgétaire.