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Tout en se disant déçue de la conclusion du Partenariat transpacifique pour la gestion de l’offre, La Coop fédérée souffle le chaud et le froid. Propriétaire du transformateur de volailles et de porcs Olymel, la Coop estime qu’il aurait été préférable de protéger la gestion de l’offre dans son intégralité.
Le président Denis Richard juge que ces nouvelles brèches dans les barrières tarifaires sont d’autant plus préoccupantes qu’elles s’ajoutent à un laisser-aller dans la protection des frontières. Il dénonce l’importation non contrôlée de protéines laitières et de produits de volailles.
« Il faut que ça cesse, a-t-il martelé. Le gouvernement canadien doit installer un verrou sur toute nouvelle importation de produits laitiers et de volailles. »
Se disant bien placée pour reconnaître l’importance de tisser des liens commerciaux solides avec les pays en développement, la Coop accueille par ailleurs positivement les baisses de tarifs donnant accès au marché japonais.
« Cette entente nous permettra de poursuivre nos stratégies de développement à l’international », affirme Denis Richard.