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Après s’être prononcé en faveur du « monopole » syndical de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Gabriel Nadeau-Dubois a fait volte-face pour ouvrir la porte au pluralisme syndical.
« Un gouvernement de Québec solidaire [QS] n’abolirait pas le monopole syndical de l’UPA », a d’abord déclaré Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de QS, en entrevue à La Terre le 18 août pour parler de l’adoption du programme agricole et agroalimentaire du parti établi en mai dernier. Le journal avait fait sa manchette à ce sujet sur son site Internet le 24 août. « Je me suis trompé quand je vous ai fait part de notre position sur le monopole de l’UPA. J’ai mal compris les résultats de notre congrès », a rectifié Gabriel Nadeau-Dubois, près de 24 heures plus tard, en ajoutant que « ce qui a été résolu, c’est d’ouvrir la porte à un pluralisme syndical en agriculture ».