Ce contenu est réservé aux abonné(e)s.
Pour un accès immédiat,
abonnez-vous pour moins de 1 $ par semaine.
S'abonner maintenant
Vous êtes déjà abonné(e) ? Connectez-vous
Le calendrier des pompiers aura à affronter une compétition susceptible de piquer la curiosité avec ce calendrier mettant en vedette des apicultrices et apiculteurs nus. Le lancement est prévu le 7 décembre prochain, à Montréal.
« Le but, c’est de nous faire connaître, mais surtout de conscientiser les gens à l’importance de préserver les pollinisateurs et l’environnement, et de leur montrer que la présence des abeilles n’est pas dangereuse », mentionne Jonathan Pelland, de l’entreprise Alvéole.
L’une des photos du calendrier présente justement une apicultrice dans son plus simple appareil. Son seul « accessoire » est une abeille posée sur son épaule.
Ce concept de calendrier osé en est à sa 4e année. « Nous essayons chaque fois de nous réinventer afin de maintenir l’intérêt. Nous avons misé cette année sur des photographies plus artistiques et le résultat est très bon », ajoute M. Pelland, qui espère écouler de 3 000 à 4 000 exemplaires à 25 $ chacun. « C’est assez populaire; nous en vendons un peu partout dans le monde », précise-t-il.
Apiculteurs urbains
L’entreprise Alvéole en est à sa 5e année. Non seulement elle vend du miel, mais elle offre les services de location et d’installation clé en main de ruches à Montréal, à Québec et à Toronto. Seulement dans la métropole, ses apiculteurs ont disposé des ruches à 500 endroits. Au total, l’entreprise dit avoir récolté cette année près de 10 tonnes de miel dans les trois villes.