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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
JOLIETTE – C’est avec émotions et reconnaissance que le président d’Agro-100, Stéphane Beaucage a rendu hommage aujourd’hui au fondateur de l’entreprise, Jean-Marc Harnois, qui a mis fin à sa longue collaboration amorcée en 2010, dans la foulée de la vente de l’entreprise à son jeune directeur général du temps qui a pris la relève, depuis, à titre de président et chef de la direction de l’entreprise de Lanaudière.
Visionnaire et fervent d’innovation, Jean-Marc Harnois a non seulement pris la relève dans l’entreprise paternelle, originalement, mais a toujours fait montre d’un esprit innovateur sûr dans le domaine des fertilisants, en créant en 1990 Agro-100, au moment où celle-ci était à la tête d’un réseau axé sur la valorisation de sous-produits venant des cimenteries et des carrières pour les recycler dans des fertilisants plus efficaces et moins coûteux, les MRF, matières résiduelles fertilisantes.
« Jean-Marc est un homme et un professionnel hors-du-commun, à qui je dois beaucoup : il a été pour moi bien plus qu’un patron, mais davantage un véritable mentor » a dit l’actuel dirigeant d’Agro-100 qui continue sa progression soutenue dans les marchés domestiques autant que du Mexique et de l’Amérique latine.
Sous l’instigation de monsieur Harnois, Agro-100 fut la première firme du genre au Québec à valoriser ces sous-produits qui étaient complètement rejetés par les cimenteries et les carrières, et dans lesquels, pourtant, on pouvait récupérer plusieurs éléments, comme le magnésium, le potassium, le soufre et le calcium, pour en faire des fertilisants très efficaces et augmenter, surtout, le rendement de toutes les cultures, et à moindres coûts. « Ces sous-produits étaient méconnus, et, il fallait trouver des façons de les transférer en agriculture », a précisé le président d’Agro-100, pour qui le génie créatif de monsieur Harnois a permis, avec le soutien de tout le personnel, cette utilisation profitable dans le secteur agricole.
Au fil des ans, monsieur Harnois a apporté une contribution importante à l’entreprise, en matière, particulièrement, de recherche et développement (R&D), en partenariat avec l’Université Laval notamment, et ce, au bénéfice de l’évolution des éléments nutritifs dans la culture de la pomme de terre qui demeure l’une des plus importantes au Québec et de plusieurs autres cultures. « Et cela s’est toujours réalisé dans une perspective environnementale de développement durable, toutes recherches confondues » a poursuivi monsieur Beaucage.
Le président de l’entreprise a conclu en disant croire que la retraite est un vain mot pour le fondateur d’Agro-100 qui, loin de demeurer inactif, cultive encore sûrement déjà quelques projets qui sont propres à perpétuer son instinct d’industriel créatif. Monsieur Beaucage a invité tous les employés d’Agro-100 à se joindre à lui pour souhaiter longue vie et bonne chance à monsieur Harnois dans ses projets futurs.