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Le gouvernement fédéral injectera 300 000$ pour tenter de contrôler cette maladie.
Le gouvernement fédéral injectera près de 300 000 $ pour le contrôle et l’éradication du syndrome dysgénésique et respiratoire du porc (SDRP), une maladie virale mieux connue ici sous le terme syndrome reproducteur et respiratoire porcin (SRRP).
L’argent servira à des projets de petite envergure, d’une durée de deux ans, qui consisteront à faire l’essai pilote d’une stratégie de biosécurité et de lutte avancées. Ces projets mettront à contribution les producteurs, les vétérinaires et l’industrie et seront coordonnés par le Conseil de l’industrie du porc de l’Ontario. Ils serviront également de modèle à d’autres provinces, indique Agriculture et Agroalimentaire Canada. D’ailleurs, le Conseil pour le développement de l’agriculture du Québec (CDAQ) y collabore.
Le SRRP cause l’infécondité chez les truies et des problèmes respiratoires chez les porcelets. Selon le Conseil canadien de la santé porcine, les infections par le virus du SRRP occasionnent des pertes annuelles d’environ de 10 à 20 $ par porc dans un troupeau positif. À l’échelle canadienne, les impacts économiques néfastes dépassent les 100 millions de dollars.