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Inquiets de la pression exercée sur le Canada dans les négociations du Partenariat transpacifique (PTP), les principaux joueurs de l’agroalimentaire québécois interpellent le gouvernement Harper.
La pression exercée sur le Canada afin qu’il accepte d’ouvrir ses marchés sous gestion de l’offre s’accentue alors que les négociations du PTP se poursuivent.
En dépit de l’engagement du fédéral de défendre la gestion de l’offre dans toutes les négociations commerciales, les producteurs de lait, d’œufs et de volailles du Québec ainsi que leurs partenaires craignent qu’Ottawa n’en vienne à faire de nouvelles concessions. Cette éventualité pourrait conduire au démantèlement de la gestion de l’offre.
Le lundi 25 mai, le ministre de l’Agriculture du Québec, Pierre Paradis, le président de l’Union des producteurs agricoles et porte-parole de la Coalition pour un modèle agricole équitable, la gestion de l’offre, Marcel Groleau, le président de La Coop fédérée, Denis Richard, le président d’Agropur, Serge Riendeau de même que les principaux acteurs de la filière agroalimentaire québécoise se réuniront afin de demander au premier ministre du Canada, Stephen Harper, de préserver intégralement la gestion de l’offre.