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Si tous les Québécois consommaient chaque jour les 5 à 10 portions recommandées de fruits et légumes, cela permettrait d’économiser 1,4 G$ en soins de santé d’ici 2035.
C’est ce que soutient une étude d’impact économique commandée par l’Association québécoise de la distribution de fruits et légumes (AQDFL). La firme Aviseo Conseil, qui a réalisé l’étude, calcule que 13 000 cas de maladies pourraient être évités annuellement en raison de l’effet bénéfique des fruits et légumes consommés.
En 2014, seulement 46 % de la population québécoise mangeait les cinq portions minimum recommandées. C’est tout de même plus que la consommation à l’échelle canadienne, qui se chiffre à 40 %.
Ces données seront mises de l’avant lors du congrès annuel de l’AQDFL, du 16 au 18 août à La Malbaie, où sera lancé le mouvement J’aime les fruits et légumes.