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Voici cinq trucs proposés par différents intervenants et producteurs contactés par La Terre afin d’éviter de perdre du profit ici et là.
- Résister à la tentation de sécher trop rapidement le maïs à une température de séchage trop élevée, un grain particulièrement froid et humide. Cela pourrait réduire sa qualité (poids spécifique) et le casser.
- Échantillonner méticuleusement le maïs récolté puisque la qualité pourrait varier cette année en raison des semis hâtifs du début mai plutôt que ceux qui sont normalement effectués début juin.
- Séparer les lots de grains de qualité différente. Par exemple, le maïs de grade 2 entreposé dans un silo et celui de grade 4 dans un autre silo offriront plus d’options lors de la mise en marché.
- Faire attention au mélange des lots de qualité différente. D’une part, la vente de lots distincts peut parfois générer plus de revenus, et d’autre part, un lot de grade 2 qui est mal mélangé avec un autre de grade 4 pourrait donner un lot total de grade 4… et non de grade 3.
- Contacter différents acheteurs avant de vendre son grain, car l’un d’entre eux pourrait offrir un prix plus élevé que les autres pour du maïs de grade 2, mais plus faible que les autres pour du grade 4.
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