Vie rurale 19 septembre 2014

New Holland veut faire sa part

faa3d6f99acea59a10028ed1ce6ca550

Le constructeur de machinerie agricole commandite la lutte aux changements climatiques.

New Holland Agriculture, propriété de Fiat, a annoncé qu’elle appuierait la campagne Unis contre le changement climatique, une initiative du Programme des Nations Unies pour l’environnement. La société s’engage comme commanditaire lors de la 17e Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui aura lieu à Durban, en Afrique du Sud, en novembre prochain. Les gouvernements et les groupes environnementaux discuteront alors des suites à donner au protocole de Kyoto. New Holland apparaîtra durant l’événement sur le site Internet de l’organisme des Nations Unies, ainsi que dans son infolettre.

Le chef de la direction de New Holland Agriculture et CNH International, Franco Fusignani, a commenté l’implication de l’entreprise. « Le changement climatique est le plus grand défi mondial de notre époque, et il a une résonance particulière dans les économies émergentes et à haut potentiel que nous desservons. Grâce à ce parrainage, nous voulons contribuer à l’objectif Action Climat, qui est de fournir une plateforme pour un dialogue permanent entre les entreprises et les gouvernements, où les sociétés internationales comme la nôtre peuvent mettre de l’avant les solutions qu’elles sont en mesure de fournir pour lutter contre le changement climatique. »

New Holland s’est distinguée ces dernières années par ses recherches sur des moteurs propulsés par des carburants plus verts et des équipements moins dommageables pour l’environnement, surtout en Europe. Le constructeur compte, entre autres, parmi sa gamme de produits, un tracteur à l’hydrogène.

Fiat dévoilait plus tôt cette semaine ses résultats financiers pour le 1er trimestre. La division Fiat Industrial, qui regroupe New Holland, a enregistré un bénéfice net de 239 millions d’euros contre 130 millions un an auparavant. Les prévisions du chiffre d’affaires annuel ont été rehaussées aux alentours de 24 milliards d’euros contre une précédente estimation de 22 milliards.