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Le chiffre clé : les pomiculteurs du groupe de tête dégagent un bénéfice 70 % plus élevé.
Sur 10 ans : 841 290 $ de bénéfice de plus pour une production moyenne de 23 ha.
Les entreprises de tête se démarquent par :
- un bénéfice moyen de 157 764 $, comparativement à 73 635 $ pour la moyenne;
- une production de 17 % de plus de minots à l’hectare et des coûts par minot 9 % moindres;
- une quantité de pommes de la meilleure qualité (de fantaisie) supérieure de 26 %;
- une réduction du temps pour la récolte (9 % de moins), malgré un rendement supérieur en quantité et en qualité.
Le dénominateur commun des entreprises les moins rentables :
- ont une mauvaise planification du verger et conservent des arbres peu productifs;
- procèdent à des traitements moins efficaces contre les ravageurs (manque de connaissance des pesticides et de leur période optimale d’application);
- gèrent moins bien leurs ressources humaines, ce qui les empêche d’effectuer les travaux de taille au moment approprié et de récolter tous leurs fruits dans la période idéale de maturité.
Les experts : Conseillers techniques et Daniel Ruel, des Producteurs de pommes du Québec.
Note : ces résultats fournissent une bonne idée de la situation, mais doivent être interprétés avec retenue, puisque dans certains cas, le nombre d’exploitations participantes est faible.
Lexique
Bénéfice : Il s’agit du bénéfice d’exploitation, soit la différence entre les revenus et les dépenses. L’excédent sert à rémunérer le propriétaire et son avoir propre.
Solde résiduel : C’est ce qui reste dans le compte de l’entreprise. S’il est positif, il s’agit de liquidités disponibles, mais s’il est négatif, c’est une dette.
Autres secteurs
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