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Cette année, les organisateurs avaient de quoi se réjouir : le chiffre magique de 20 000 visiteurs a presque été atteint au cours des trois journées d’exposition, alors qu’un an auparavant, ce nombre était de 18 000.
Les quelque 330 exposants répartis sur un terrain de 50 hectares se promettent déjà de revenir l’an prochain étant donné l’ampleur du succès.
« C’est une victoire d’équipe. Nous avons des gens qui commencent à préparer le terrain un mois avant l’événement. Depuis 20 ans, notre objectif est de présenter tous les produits innovants en matière de machinerie, de techniques de production et de services. En fait, nous voulons non seulement démontrer aux visiteurs comment les machines se comportent, mais aussi leur permettre de les voir, de les comprendre, d’apprendre et d’en discuter », explique Sophie Gendron, directrice générale du Salon de l’agriculture.
Tout a commencé sur un terrain modeste à Saint-Hyacinthe en 1998. Au fil des ans, Expo-Champs a connu une ampleur au point où une liste d’attente est rendue nécessaire en raison de l’espace limité.
« Il y a des exposants qui, à leur départ de l’exposition, me disent qu’ils ont de quoi faire des affaires durant six mois. Plusieurs d’entre eux roulent d’événement en événement. Ils investissent tellement pour rendre leur terrain attrayant! Ça signifie que c’est rentable, que c’est justifié. En venant ici, les exposants savent qu’ils obtiennent une valeur ajoutée », mentionne Sophie Gendron.
5 à 7
En fin d’après-midi, plusieurs réceptions ont eu lieu sous divers chapiteaux. L’une d’entre elles a regroupé près d’une centaine de visiteurs et de bénévoles dédiés à la cause du cancer du sein au kiosque de Soleno.
Errol Duchaine, journaliste, conférencier et ex-animateur de La semaine verte, a pris la parole en expliquant que cette cause le touchait personnellement, l’une de ses proches ayant passé à deux doigts de la mort.
De son côté, le président de Soleno, Alain Poirier, a déclaré vouloir inciter les autres manufacturiers à faire de même et à s’impliquer dans une cause. Il estime que les entreprises peuvent toujours en faire davantage.
Bernard Gauthier, collaboration spéciale