1 · Diversifier l’usage de la salle 
Celle-ci servira aux mariages, mais aussi aux retraites de yoga, aux événements corporatifs, aux groupes scolaires et à l’agrotourisme. « Je fais de l’argent avec la location, mais ce n’est pas une location qui rembourse la totalité de la salle. Les visites scolaires sont ma priorité », souligne Laura Genest, de la Ferme Genest.

2 · Définir clairement l’offre
Quels services seront offerts aux futurs mariés ? Il faut s’assurer d’avoir des fournisseurs de confiance (nourriture, alcool, décorations, DJ, etc.) vers qui diriger ces derniers.

3 · Affecter une personne à la coordination du mariage
C’est elle qui s’occupera de toute la préparation avec les mariés, suivra le déroulement du jour J et gérera les imprévus… parce qu’il y en a toujours!

4 ·  Rester à l’affût des tendances
La publicité est utile, mais n’est pas suffisante. Le marché du mariage à la ferme se développe et lorsqu’il sera engorgé, il ne faudra pas simplement compter sur la publicité.

5 ·  Demander une autorisation à la CPTAQ
Se marier en zone agricole n’est pas une activité agricole au sens de la loi, donc ça prend une autorisation pour un usage autre qu’agricole. Attention aux délais. Quatre à six mois sont nécessaires pour obtenir le feu vert.

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