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La 3e saison de la téléréalité L’Amour est dans le pré s’amorce au petit écran. La récolte sera-t-elle aussi fructueuse que lors des deux premières éditions?
Dès la première saison, des agriculteurs ont réussi à trouver l’amour grâce à cette téléréalité. Ainsi, l’un des couples vedettes, Simon et Cynthia, a accueilli il y a quelques mois le petit Loïc. Ils attendent la cigogne pour une 2e fois! D’autre part, la petite Olivia fait le bonheur de Krystel et Maxime. La famille ne tardera pas à s’agrandir, ont confié les amoureux à la caméra de V télé, le diffuseur de l’émission.
La 2e moisson de L’Amour est dans le pré s’est avérée tout aussi fructueuse puisque Jessyca et Jérôme sont désormais d’heureux parents. « Une vie à trois comme ça, c’est le plus beau cadeau que je pourrais avoir », a dévoilé le nouveau papa, visiblement ému.
Candidats
Pour cette nouvelle cuvée 2014, V télé mise sur cinq candidats : quatre agriculteurs et une agricultrice. Il y a tout d’abord Alain, 40 ans, producteur laitier, de grandes cultures et acériculteur de Sainte-Cécile-de-Milton. Ce père de deux enfants recherche une femme joyeuse, naturelle, dotée d’un beau regard et fidèle parce que la confiance et la complicité constituent des atouts précieux dans une relation amoureuse, estime-t-il.
La seule candidate, Julie, 24 ans, est productrice bovine à Saint-Ambroise au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Célibataire depuis un an, cette amatrice de sports extrêmes désire faire la rencontre d’un homme travaillant, qui aime le plein air et les sports extérieurs. Elle se dit intéressée par une relation à long terme et souhaite avoir l’occasion de rencontrer l’homme de sa vie prochainement pour fonder une famille.
Pour sa part, Luc, 32 ans, d’Alma au Lac-Saint-Jean, travaille à la ferme laitière de son oncle et cultive des légumes qu’il vend au kiosque qu’il y tient. Ce jeune trentenaire, passionné d’agriculture, n’est pas le genre à croire au coup de foudre. Il désire rencontrer une femme qui aime l’agriculture. La famille se trouve au cœur de ses priorités et il est impatient de fonder la sienne avec la perle rare, dans la mesure où il arrive à effectuer un choix parmi les candidates, affirme le diffuseur.
De son côté, Ludovic J., 25 ans, de Saint-Ambroise-de-Kildare, est copropriétaire avec ses parents d’une bergerie et fait de la culture végétale biologique. Fonceur, passionné, ambitieux, curieux et avide de projets, le jeune homme espère dénicher une femme allumée, sincère, souriante et jolie avec qui il rêverait d’avoir des enfants et d’élaborer plein de projets.
Un autre Ludovic, Ludovic V. cette fois, prend part à l’aventure. Le producteur laitier et de grandes cultures de 23 ans habite Rigaud. Derrière des allures de cow-boy se cache un grand sensible qui recherche une femme naturelle, sportive et qui aime l’agriculture. Cet aîné d’une famille de six enfants caresse aussi le rêve de fonder une grande famille. Cette année encore, V télé promet de créer des unions qui subsistent. Tellement que certaines candidates se retrouveront même la bague au doigt, révèle le diffuseur.
Chaque semaine, vous pourrez lire notre chronique à propos des péripéties des candidats (e) et leurs prétendants (es), sur le site laterre.ca.
Succès international
Alors qu’au Québec, L’Amour est dans le pré entame sa 3e saison, en France, l’émission fait un tabac depuis 2006. À un point tel que certains ex-candidats se sont hissés au rang de vedette. C’est le cas de Thierry Olive, un éleveur laitier de la commune de Ver, dans le département de la Manche. Le jovial agriculteur et Annie, sa douce rencontrée grâce à la téléréalité, n’ont pas tardé à s’attirer la sympathie de nos cousins français. Thierry Olive a même eu droit à sa biographie. L’agriculteur a aussi écrit le livreJe voulais juste être un petit peu heureux, publié chez Michel Lafon. Aujourd’hui, il goûte toutefois à la rançon de la gloire. Que ce soit la publication de commentaires méchants de sa famille à l’endroit de sa nouvelle conjointe, de rumeurs d’alcoolisme ou de leur projet de bébé, Thierry voit sa vie étalée dans les tabloïds français. La dernière frasque : une accusation de tromperie sur la marchandise. En effet, l’agriculteur vedette vient d’être condamné à verser 1 000 euros pour avoir vendu un veau de type laitier en tant qu’animal de boucherie.