Ce contenu est réservé aux abonné(e)s.
Pour un accès immédiat,
abonnez-vous pour moins de 1 $ par semaine.
S'abonner maintenant
Vous êtes déjà abonné(e) ? Connectez-vous
Le gouvernement fédéral vient d’octroyer un montant de 1,19 M$ à la firme ontarienne A&L Biologicals pour l’élaboration d’un test qui permettra aux producteurs d’accroître leurs rendements de maïs.
La technologie vise plus précisément à diagnostiquer la présence des microorganismes dans le sol qui ont le plus d’effets sur la productivité des plants de maïs. En entrevue à la Terre, le directeur de recherche George Lazarovits mentionne que l’écosystème à l’intérieur et à l’extérieur de la plante influence grandement les performances. « Nous nous sommes rendu compte que des champs produisant 19 tonnes de maïs à l’hectare avaient des écosystèmes différents [en termes de bactéries et autres microorganismes] de ceux qui produisaient moins. Les écosystèmes productifs affichaient des hausses de rendement de l’ordre de 75 % en moyenne », explique-t-il.
Les recherches auront lieu cette année sur plusieurs sites en Ontario et se poursuivront dans d’autres provinces l’an prochain, dont au Québec.