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À quand une traçabilité du bétail, de la ferme jusqu’au consommateur?
Depuis plus de 10 ans, les producteurs bovins et ovins du Québec contribuent au bon fonctionnement du système d’identification permanente et de traçabilité de la province. Celui-ci s’arrête toutefois à l’abattoir.
Les producteurs n’ont pas oublié l’engagement pris à la fin des années 1990 par le gouvernement, c’est-à-dire de mettre en place une traçabilité des produits agricoles de la terre à la table. Agri-Traçabilité Québec (ATQ), qui gère le système, travaille à la suite des choses.
L’organisation souhaite utiliser la traçabilité comme outil de valorisation des produits d’ici. D’ailleurs, l’un des axes de la Politique alimentaire québécoise est d’accroître la place des aliments d’ici sur la table des familles de la province. ATQ espère avoir les ressources nécessaires pour mener à bien ce nouveau projet. Elle attend une réponse du ministère de l’Agriculture d’ici le mois d’avril.
Dans la mesure du possible
Après 15 ans d’efforts, le système québécois a atteint sa maturité pour passer à une autre étape, confirme Jean-Sébastien Roy, spécialiste de la traçabilité à la Fédération des producteurs de bovins du Québec. Des initiatives ont déjà vu le jour dans la Belle Province et ont permis à des produits de se démarquer sur le marché du Québec, mais également à l’international.
Un dossier complet dans La Terre de chez nous du 4 février prochain.