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Le ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, s’est présenté mercredi dernier au 90e congrès de l’Union des producteurs agricoles (UPA) avec une petite valise remplie de dossiers prioritaires.
QUÉBEC — Il est reparti sans rien promettre. Mais il a donné l’impression aux 350 délégués présents qu’il était « de leur bord ».
La veille, le président général de l’UPA, Marcel Groleau, avait mis la table. Il avait tenu à rappeler aux délégués que le ministre avait réagi « rapidement » dès la sortie du controversé rapport de la commission Robillard, qui ne suggérait rien de moins que l’abolition du Programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA).
C’est dans cet esprit que le ministre de l’Agriculture s’est adressé aux délégués et qu’il a salué le travail des producteurs. Tous les dossiers y sont passés : accaparement des terres, gestion de l’offre, commerce international, accès aux capitaux pour la relève, sécurité alimentaire, fromages fins… et assurance stabilisation.
Plus de détails dans La Terre de chez nous du 10 décembre
L’allocution du ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis, lors du Congrès général annuel de l’UPA 2014.