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Après que sa mère ait ignoré le porcelet rustique Tim junior à la naissance, son éleveur Nicolas Gaudette, de la Ferme Selby, à Dunham, en Estrie, l’a pris sous son aile.
Pendant quatre mois, le cochon a été le deuxième animal de compagnie de la maisonnée. Il avait même un fauteuil qui lui était réservé. « On l’a élevé jusqu’à ce qu’il ne soit plus capable de rester dans la maison parce qu’il prenait de la place », mentionne M. Gaudette. Le cochon a été transféré dans la grange, mais restait en liberté à la ferme. C’est même lui qui accueillait les visiteurs en courant vers eux. « Il avait plus des instincts de chien à ce moment-là que de cochon, mais à la fin, les instincts de cochon ont repris le dessus et il a fallu le mettre avec d’autres animaux. » Aujourd’hui, le verrat de 650 livres a rejoint le reste du troupeau à titre de géniteur, mais étant le chouchou, il a son abri personnel et reçoit un peu plus de gâteries que les autres.