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Je termine mes études au diplôme d’études collégiales en Gestion et technologies d’entreprise agricole (GTEA) et je désire poursuivre à l’université en agroéconomie. Les deux derniers étés, j’ai fait des stages à l’extérieur du Québec et cela m’a permis de ramener avec moi une foule de connaissances et d’anecdotes. Mes expériences m’ont confirmé que c’est ce domaine qui me passionne. Mes parents ont démarré l’entreprise il y a environ 18 ans et ils sont prêts à me suivre dans tous les projets que je veux développer pour son futur.
Depuis que je suis toute petite, mes parents me trimbalent avec eux dans la ferme. Vers l’âge de 10 ans, les corvées obligatoires à la ferme étaient de mise (avec une petite paie à la fin pour encourager). Même si parfois c’était la crise pour se rendre, j’aimais toujours y être et cela m’a fait réaliser que c’est dans le monde agricole que je voulais être, dans le champ comme avec les animaux.
Dans ma vision de rêve, je vois un marché plus local où les consommateurs se rapprochent des producteurs. J’aimerais qu’un investissement puisse être rentabilisé aussi rapidement que dans d’autres entreprises. J’aimerais que tous les producteurs puissent se tirer un bon salaire de leur passion, qui est l’agriculture.
Pour découvrir le portrait complet de Gaëlle, rendez-vous dans le dernier cahier Écho Fourrager ou sur
fraq.quebec.
Ceci est la dernière chronique hebdomadaire d’Histoire de relève, qui deviendra mensuelle et exclusivement numérique à compter du mois de juin. Surveillez le site Web de La Terre de chez nous pour ne rater aucune chronique racontant le quotidien de la relève agricole.
En collaboration avec la Fédération de la relève agricole du Québec