Ce contenu est réservé aux abonné(e)s.
Pour un accès immédiat,
abonnez-vous pour moins de 1 $ par semaine.
S'abonner maintenant
Vous êtes déjà abonné(e) ? Connectez-vous
Nous y voici enfin! La 12e saison de L’amour est dans le pré est enfin arrivée sur nos écrans le 11 janvier. Vous aviez hâte d’assister aux speed dating? Meilleure chance la semaine prochaine parce qu’on ne verra que les rencontres de Benjamin, cette semaine.
Malgré ce petit bémol, ça reste un bon premier épisode. C’est toujours agréable d’en apprendre un peu plus sur les candidats et les raisons, ou les personnes, qui les ont poussés à s’inscrire à l’émission.
Commençons par Théo, le doyen du groupe. Papa célibataire depuis quelques années déjà, il a enchaîné quelques fréquentations mais s’est vite rendu compte que ça ne se passait plus comme la dernière fois, en 1999. C’est sa fille qui l’a poussé à s’inscrire. Théo possède une ferme équestre, un petit avion et un chalet en Suisse où « l’on se lève le matin, au-dessus des nuages ». De quoi faire rêver ses prétendantes, ou du moins, celle à qui il donnera son chapeau. C’est là qu’on saura qui sera l’élue de son cœur.
De son côté, Charlie possède aussi des chevaux et est un spécialiste de compétitions équestres. Il a d’ailleurs remporté plusieurs compétitions importantes dans sa discipline de prédilection : la performance western. Charlie cherche un compagnon qui deviendra son meilleur ami, son confident. Pour lui, l’amour est synonyme de complicité. Il a été aidé dans son processus par Anne-Sophie, une candidate de la saison dernière.
Marc-Étienne, lui, possède une ferme laitière et croit qu’élever des enfants dans une ferme est la meilleure vie que l’on puisse avoir. Il est à la ferme depuis qu’il sait marcher. Honnête, il se dit incapable de mentir. Il cherche une fille indépendante, active, sociale et qui saura garder son cœur d’enfant. « Même à 50 ans, s’il faut aller se lancer dans un trou d’eau, on aura du plaisir à le faire. »
Puis, il y a Sabrina, qui souhaite reprendre la ferme familiale avec sa cousine et ainsi être la sixième génération à tenir les rênes de l’entreprise familiale. Elle a des projets plein la tête, souhaite doubler son nombre de vaches et aimerait qu’elles soient toutes en stabulation libre prochainement. Surveillez ses petites pommettes rouges pour savoir si quelqu’un lui plaît.
Embrasser ou non?
J’ai bien aimé le moment où la nouvelle animatrice Marie-Soleil Dion, qui est à l’aise comme un poisson dans l’eau dans son rôle, a posé LA question qui tue aux cinq candidats de cette année. On le sait, il y a deux écoles de pensées à L’amour est dans le pré. Est-ce qu’on embrasse seulement la personne qui fera battre notre cœur ou si on se laisse aller, en se disant que rien n’arrive pour rien, quitte à embrasser tout le monde la même journée (ça s’est déjà vu, allô Deven!)? Dommage que personne n’ait répondu clairement à la question, mais on a bien compris que, pour la plupart, ce n’est pas une décision qu’on prenait avec notre tête. J’ai bien hâte de voir qui écoutera son cœur!
Benjamin rencontre ses prétendantes
Je m’étais gardé Benjamin pour la fin, un petit gars de la ville qui a choisi l’agriculture. « Ah, qu’il est beau! » s’est tout de suite exclamée ma copine! Benjamin ne se cherche pas une fille, ou une amoureuse, il cherche sa femme! Il souhaite avoir trois ou quatre enfants et, comme il le dit si bien, « apparemment qu’il faut être deux pour faire ça ».
Si, au départ, Benjamin avait identifié Lili comme son Top 1, on a bien vu qu’Amélie était venue brouiller les cartes. Benjamin a été charmé quand elle lui a dit qu’elle s’était inscrite pour lui et non pour la ferme. C’est Valérie qui complétera le trio des prétendantes qui se rendront à la ferme de Benjamin.
On aura la suite des speed dating la semaine prochaine! D’ici là, je vais commencer tout de suite à réfléchir à mes choix pour mon pool!