Nos ancêtres en connaissaient les bénéfices. Aujourd’hui, même l’intelligence artificielle (IA) reconnaît le potentiel des plantes fourragères. Le texte suivant a entièrement été composé à l’aide de l’application Chat GPT, qui est un agent conversationnel (chatbot, en anglais) doté d’une intelligence artificielle créé par la firme Open AI. Il peut générer des textes de toute nature, sur tout sujet et de toute complexité en répondant simplement aux demandes provenant de l’utilisateur. La puissance de cet outil provient du fait qu’il se souvient de l’historique de la conversation et comprend le contexte. Il ne se contente pas de donner des réponses déjà programmées, il est capable de générer du contenu plausible sur une grande variété de sujets avec une précision surprenante. Plus on interroge le modèle, plus il raffine le contenu de ses réponses. L’objectif d’utilisation de cette application conversationnelle pour la création de contenu sur les plantes fourragères est de démontrer comment la technologie d’aujourd’hui peut aider à nous renseigner sur des sujets variés liés au domaine agricole. À utiliser avec discernement, cependant!

Dans le contexte agricole actuel, il est essentiel de trouver des solutions qui allient durabilité environnementale et rentabilité économique. À cet égard, l’adoption de plantes fourragères, telles que le trèfle, la luzerne et le ray-grass, dans les systèmes agricoles du Québec se révèle être une stratégie gagnante. Contrairement aux cultures annuelles, qui nécessitent un labour et un semis annuel, les plantes fourragères, une fois établies, peuvent produire pendant plusieurs années. Ce système pérenne limite la perturbation du sol, réduisant ainsi l’érosion et la compaction. De plus, l’absence de labour annuel peut entraîner des économies significatives en matière de temps et de coûts de machinerie, offrant ainsi un avantage économique indéniable.

Un autre atout majeur des plantes fourragères réside dans leur capacité à fixer l’azote. Le trèfle et la luzerne, par exemple, grâce à leur symbiose avec les bactéries du sol, transforment l’azote de l’air en composés azotés utilisables par les plantes. Cette capacité à enrichir le sol en azote réduit la nécessité d’apporter des engrais azotés synthétiques, ce qui peut représenter une économie substantielle par rapport aux cultures annuelles, qui nécessitent souvent des apports d’engrais importants.

En outre, les plantes fourragères favorisent la biodiversité du sol. Elles offrent un habitat pour une variété d’organismes du sol, comme les vers de terre et les microorganismes bénéfiques, qui contribuent à la décomposition de la matière organique et à la formation d’humus. Cette augmentation de la teneur en matière organique du sol améliore sa fertilité et sa capacité à retenir l’eau, ce qui peut réduire les coûts d’irrigation et d’engrais.

Enfin, la culture de plantes fourragères peut offrir une source de revenus supplémentaire. Elles peuvent être vendues comme aliment pour le bétail ou utilisées sur place, réduisant ainsi les coûts d’achat de fourrage.

C’est maintenant à votre tour d’innover, en réintroduisant les plantes fourragères dans vos rotations de cultures!  


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