Par Isabelle Bérubé – Élever des poules derrière sa maison de campagne pour avoir des œufs frais, ce n’est pas compliqué, mais…

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Mieux vaut surveiller ses poules si on ne veut pas qu’elles soient vecteurs d’une maladie indésirable.

Au Québec, les mangeoires et les abreuvoirs doivent être inaccessibles pour les oiseaux sauvages qui se promènent aux alentours. Cependant, l’obligation d’élever les oiseaux sous un filet recouvrant l’enclos extérieur n’est plus valide depuis 2008.

Comme ici, aux États-Unis les gens qui choisissent d’élever des poules dans leur cour est un phénomène de plus en plus répandu.

Le ministère de l’Agriculture des États-Unis (USDA) vient d’ailleurs de publier un calendrier pour 2011 relatant une série de trucs destinés aux apprentis éleveurs. On y apprend que l’observation régulière des oiseaux permet de détecter plus rapidement les maladies. Le ministère conseille également d’approcher les oiseaux avec des vêtements et de l’équipement propres. Il est également de mise de limiter les visiteurs dans les environs du poulailler et de limiter les contacts avec les oiseaux.

Pour ceux qui lisent l’anglais :
http://healthybirds.aphis.usda.gov/

Plus près d’ici :
http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Productions/santeanimale/Pages/Confinementdesoiseauxcaptifs.aspx

Pour lire l’article sur le sujet publié dans Vivre à la campagne de l’automne 2010, cliquez ici.