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Voilà cinq ans, Daniel Bergeron et Mélanie Hardy ont choisi de s’installer à la campagne. Leur plan de match : acheter une résidence à moindre coût pour permettre à Mélanie de quitter son emploi et de se consacrer à la famille. Il faut croire que l’air de la campagne a été profitable : arrivés à Saint-Sébastien-de-Frontenac au lendemain de la naissance de leur troisième enfant, ils en ont maintenant cinq!Les Bergeron-Hardy racontent leur aventure exemplaire dans le magazine Vivre à la campagne, printemps 2012, en kiosque dès le 22 mars. Pour éviter de se retrouver dans un village moribond, le couple a conçu une grille regroupant tous les critères jugés essentiels à leurs yeux. Cliquez pour télécharger la grille de sélection.
1) Propriétaire d’une boîte de communications à Sherbrooke, Daniel Bergeron peut travailler de sa résidence de Saint-Sébastien grâce à l’Internet haute vitesse. « J’ai été capable de transporter mon travail avec moi!
2) La présence d’une caisse populaire à Saint-Sébastien a convaincu Daniel Bergeron de s’y établir. Il a fait tout un battage quand il a appris l’intention de l’institution de fermer son point de service. « J’ai appris à découvrir l’esprit d’un village, confie-t-il. Il n’y a pas plus d’implication de la part des citoyens qu’en ville, mais comme nous sommes moins nombreux, ça paraît plus. »
3) Devant sa résidence, Daniel confie : « J’ai toujours voulu me construire. Un jour, j’aurai assez d’argent pour bâtir la maison de mes rêves, sur une terre, loin du chemin. Ici, je sens que ce rêve va se concrétiser. »