Était-ce l’esprit de la Saint-Valentin ou Cupidon qui, de passage, aurait décoché quelques flèches vers les fermes des participants de L’amour est dans le pré? Ça commence à sentir l’amour à quelques endroits, notamment à Rivière-Ouelle, entre Guillaume et Gabrielle.

Il suffisait de les regarder aller pendant la traite matinale pour deviner leur intérêt mutuel. Guillaume a d’ailleurs confié à la caméra qu’il en perdait même un peu ses moyens. C’est Gabrielle qui lui fait le plus d’effet, même s’il la sent un peu plus réservée. Rien n’est joué encore parce que Laurie et Caroline sont encore dans la course. D’ailleurs, Caroline a profité d’une petite marche avec l’agriculteur pour valider si son penchant pour une petite coupe de vin sur la terrasse en préparant le souper pouvait énerver Guillaume à la longue. « Non, s’il n’y a pas d’excès, je ne vois pas pourquoi ça me dérangerait », a répondu Guillaume. 

À Saint-Philémon, Marc-Antoine a passé un peu de temps avec Myriam et Casandra, d’abord à l’étable pour parler « enfants » avec la première, puis à la rivière avec la seconde pour discuter de « jalousie et de rapprochements ». Que se passera-t-il s’il y a des rapprochements à la ferme? Les filles se le diront, a-t-elle confirmé. C’est une bonne chose que Marc-Antoine ne soit pas pressé. D’ailleurs, celui-ci a confirmé qu’il ne ressent pas encore de déclic précis, mais que s’il embrasse l’une de ses prétendantes à la ferme, c’est parce que ça sera la bonne.

Vincent, le petit cachottier

Si Anne-Sophie cuisine aussi bien la nourriture qu’elle cuisine ses prétendants, j’espère qu’elle m’invitera un jour à dîner parce que c’est une véritable cheffe. Parlez-en à Vincent! C’est que, voyez-vous, il y a un petit kiosque à la ferme chez Anne-Sophie et il paraîtrait que Vincent est allé y faire un tour avant de s’inscrire comme prétendant. « Mais est-ce que tu es venu au kiosque avant de t’inscrire ou après t’être inscrit? » Ah ben! Petit cachottier. Pris la main dans le sac, mon Vincent! 

On l’a vu hésiter, rougir, puis répondre en rigolant : « Euh, avant ». « Tu es venu voir de quoi j’avais l’air! », a relancé Anne-Sophie. Vincent a par la suite expliqué que, par un concours de circonstances, il était de passage dans le coin pour aider un ami et que, tant qu’à y être, aussi bien faire un petit tour au kiosque. Ben oui… mon œil! N’empêche que ça clique entre les deux. Le courant passe bien. Mieux, selon moi, qu’avec son autre prétendant, Gabriel. 

Allô beau-papa

À Saint-Gabriel-de-Rimouski, Élisabeth a décidé que le temps était venu de présenter ses prétendants à son père, Michel, venu saluer ses gendres potentiels, qui, pour l’occasion, préparaient des brochettes de tofu. Du lot, je crois que c’est Samuel qui se démarque. Élisabeth apprécie ses moments passés avec lui. Elle a même confié que de vivre au quotidien avec lui serait agréable. L’agricultrice a même ouvert son jeu, peut-être sans s’en rendre compte, en lui disant qu’elle a hâte de découvrir comment il est chez lui, dans ses affaires, avec son monde… On devine donc qu’à moins d’un revirement majeur, elle ira probablement le visiter.

À Howick, Bobby a emmené Christine faire un tour de tracteur pour aller voir le champ de maïs, ce qui a rappelé de bons et moins bons souvenirs à Christine, qui a grandi dans une ferme. Puis, Bobby est allé nourrir les veaux avec Alexandra et en a profité pour remercier Alexandra pour le bon repas de la veille, particulièrement le dessert.

Toujours pas de rapprochements officiels, mais ça ne saurait tarder. On me chuchote d’ailleurs que ça pourrait arriver aussi tôt que la semaine prochaine…