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Pour maximiser la distribution de l’alimentation, Weidemann Canada propose une grande variété de machines polyvalentes offrant plusieurs formes d’applications et que l’on peut utiliser à longueur d’année. « L’avantage d’utiliser un chargeur articulé ou un chargeur télescopique, explique Vincent Nicoletis, directeur du développement des affaires, c’est que la machine est faite pour la manutention, contrairement à un tracteur qui est conçu pour tirer des charges et que l’on tente de convertir en chargeur. »
Des économies
Avec un chargeur, vous pouvez faire plus qu’avec un tracteur, tout en utilisant une machine avec moins de puissance moteur, explique M. Nicoletis. « Par exemple, sur nos machines, le poids est principalement situé à l’arrière, ce qui rend la répartition du poids optimal pour la manutention. La transmission hydrostatique permet une conduite souple et adaptée aux fréquents aller-retour effectués par la machine. L’articulation pendulaire permet de gagner du temps en permettant à la machine de faire des virages très serrés », ajoute-t-il.
« Nos moteurs n’ont pas besoin d’être aussi puissants que ceux d’un tracteur, ce qui permet de réaliser des économies de carburant. L’usure des pneus est aussi optimal comparativement à un tracteur ou un skid steer », ajoute le spécialiste. Le chargeur, dit-il, est probablement la machine qui fonctionne le plus à la ferme. Elle est utilisée tous les jours pour nourrir les animaux. « Ce sont des investissements qui pourraient sembler superflus au départ, mais qui s’avèrent rapidement payants tant économiquement que sur le plan de l’efficacité au travail », croit M. Nicoletis. Un chargeur peut même parfois faire le travail de deux machines. Plusieurs clients ont réussi à remplacer un skid steer et un tracteur avec chargeur par une machine Weidemann.
Pour toutes les dimensions de ferme
Weidemann a des produits adaptés pour toutes les dimensions de fermes, poursuit M. Nicoletis. « On est reconnu pour les petites machines capables de travailler dans les espaces restreints, mais aussi pour de plus grosses qui permettent de travailler autour de la ferme : manipulation de balles rondes, chargement des épandeurs et mélangeurs, etc. », ajoute-t-il. « On peut acquérir une petite machine et une plus grande, mais on peut aussi tout faire avec une seule machine », précise Vincent Nicoletis. Ceux qui ont deux machines, c’est généralement parce qu’ils ont des bâtiments trop vieux pour permettre à la machine plus grande de rentrer à l’intérieur, précise-t-il. Les nouvelles fermes sont davantage adaptées à toutes les tailles de machines. Néanmoins, les éleveurs de chèvres et de poulets iront d’emblée vers de plus petites machines à cause des bâtiments plus petits ou plus bas de plafonds, alors que dans une ferme laitière, on favorisera une machine plus grosse munie d’un bras télescopique capable d’aller travailler en hauteur.
Lors de l’achat
Ce qu’il est important de considérer au moment de l’achat, poursuit M. Nicoletis, c’est la hauteur de levage, la capacité de la machine, les dimensions de la machine et la puissance hydraulique si on veut utiliser des équipements hydrauliques.
Il fait aussi valoir le côté sécuritaire, la facilité de conduite et la visibilité supérieure d’un chargeur comparé à un tracteur. Un travailleur étranger ou un employé occasionnel apprendra rapidement à manipuler un tel véhicule.
Cet article a été publié dans l’édition de novembre 2022 de notre magazine L’UtiliTerre, à lire ici.