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Un verger de Saint-Joseph-du-Lac, dans les Laurentides, a été la proie des orages violents et de la grêle qui se sont abattus dans son secteur, le 16 juin.
« On a eu des dommages à nos pommes; certaines ont fendu », a témoigné le pomiculteur Pierre Desjardins au lendemain des événements, sans être en mesure néanmoins d’évaluer de façon précise l’ampleur des dégâts. « La grêle, ça risque de venir affecter nos récoltes. Déjà, on a des variétés de pommes d’été qui ont été affectées », ajoute le copropriétaire du Verger Méli-Mélo, qui reste malgré tout positif dans les circonstances. « Il ne faut pas paniquer. L’an dernier, on a eu des gels à la fin mai, là c’est de la grêle. C’est ça la réalité, en agriculture. »
À Laval, le producteur Louis Marineau raconte avoir reçu « des torrents d’eau » le 16 juin dans ses champs de fraises qui ont heureusement causé moins de dommages qu’anticipé. « On a des jeunes plants de fraises qui ont déraciné, mais ce n’est vraiment pas si pire que ça. Je n’ai pas eu de grêle », fait-il valoir.
D’autres vergers et fraisières contactés par La Terre dans les Laurentides et en Montérégie ont aussi signalé avoir eu beaucoup d’eau hier qui a somme toute généré plus de peur que de mal.