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Nicolet — L’opération fait maintenant partie des rituels printaniers : les effaroucheurs se mettent au travail, sillonnent les routes de campagne afin de faire fuir les oies blanches confortablement installées dans les champs pour se nourrir avant de poursuivre leur migration vers le nord.
Afin de réduire les pertes causées par ces volatiles dans les champs, le Centre-du-Québec, à l’instar de plusieurs autres régions, notamment le secteur de Montmagny, le Saguenay–Lac-Saint-Jean, la Beauce-Appalaches et la Montérégie, offre gracieusement aux producteurs le service d’effarouchement financé par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), coordonné par la fédération régionale de l’Union des producteurs agricoles (UPA).
© La Terre de chez nous