Ce contenu est réservé aux abonné(e)s.
Pour un accès immédiat,
abonnez-vous pour moins de 1 $ par semaine.
S'abonner maintenant
Vous êtes déjà abonné(e) ? Connectez-vous
Par Josianne Haspeck – Découvrir les saveurs et les spécificités des Laurentides, voilà l’objectif du tout nouveau Chemin du Terroir, un circuit regroupant 30 entreprises agrotouristiques.
Vivrealacampagne.ca vous propose aussi :
Être dans la lune et y rester
Une vue du ciel sur votre plancher
Vingt-deux projets pour promouvoir la faune
La région des Laurentides a ceci de particulier : on y trouve mille et une trouvailles allant de produits frais et vinicoles aux fromages, en passant par le miel, la fibre d’alpaga et autres produits artisanaux. Pour les faire découvrir autant aux touristes internationaux qu’aux visiteurs locaux, Tourisme Laurentides a lancé, en octobre dernier, le Chemin du Terroir. Il s’agit de la première route touristique du genre officiellement reconnue par le ministère du Tourisme et le ministère des Transports du Québec pour la région.
Le Chemin du Terroir propose un circuit bucolique formant une boucle signalisée de 226 kilomètres traversant les MRC de Deux-Montagnes, Mirabel et Argenteuil. Le parcours conduit de Saint-Eustache jusqu’à Lachute, en passant par le paysage collinaire de Saint-Joseph-du-Lac et Oka, pour finalement sillonner Saint-André-d’Argenteuil et la campagne mirabelloise. Ayant vu le jour après plus de deux ans de travail de concertation régionale, il met en valeur des entreprises agrotouristiques et autres attraits culturels et patrimoniaux — naturels et bâtis — des Basses-Laurentides.
Disposant d’un budget de plus de 100 000 $, Tourisme Laurentides a publié une carte détaillée des 30 partenaires et un site Internet (http://www.cheminduterroir.com/).
Éleveuse d’alpagas huacayas double enregistrés, à Brownsburg-Chatham, Catherine Reid a créé la Boutique Tout en finesse d’Alpage du Nord expressément pour le lancement du Chemin. Ainsi, elle estime à 75 % le nombre de visiteurs reliés à la visibilité que lui offre la route agrotouristique. « Je n’aurais pas eu leur visite autrement. C’est impressionnant de constater comment les gens sont curieux. Ils sont étonnés de tant de variétés », fait-elle savoir.