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Au terme de son enquête, la Commission américaine du commerce international a finalement conclu que les bleuets importés du Canada et d’autres pays ne représentent pas une menace pour l’industrie américaine.
Plus tôt cet automne, des représentants du milieu agricole canadien et québécois s’inquiétaient que des quotas ou des tarifs douaniers soient exigés des producteurs qui exportent leurs produits aux États-Unis. Au Lac-Saint-Jean notamment, des 80 millions de livres de bleuets sauvages produits annuellement, entre 20 et 25 millions sont envoyés en sol américain. « On est très soulagés de la décision. C’est positif pour notre industrie », a réagi Daniel Gobeil, président du Syndicat des producteurs de bleuets du Québec. Les taxes à payer, s’il y en avait, seraient prises directement des poches des producteurs, soutient-il.