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Par Céline Normandin – Avec l’augmentation de la population, les coyotes sont plus visibles, même dans les villes.
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L’augmentation du nombre de coyotes se fait sentir en région, au point où il a même été signalé en plein centre-ville de Sherbrooke, indique Canoe. Ils sont maintenant présent sur la Côte-Nord et Sept-Îles, des endroits qu’il ne fréquentait pas auparavant.
L’étalement urbain est en partie responsable de la hausse du nombre de signalement de coyotes, mais également l’abondance des chevreuils dans les dernières années, un animal qui présent dans son régime alimentaire.
Il y aurait plusieurs dizaines de milliers de ce prédateur qui est présent sur 40 % sur le territoire québécois. Certains avancent le chiffre de 50 000 individus.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a recensé pour 2009-2010 5175 prises de coyotes par les trappeurs. C’est dans Chaudière-Appalaches que les prises ont été plus nombreuses, avec 1145. Le Bas-Saint-Laurent suit, avec 678, suivi de l’Estrie et la Montérégie, avec respectivement 665 et 659 prises.
Le coyote n’est pas dangereux pour l’homme. Son régime alimentaire est principalement constitué de mammifères (campagnols, souris, marmottes, porcs-épics, lièvres, lapins, ratons laveurs et cerfs), et parfois oiseaux, poissons, amphibiens, crustacés, insectes, fruits et charogne. Il peut aussi s’attaque aux animaux d’élevage, tels que les bovins, moutons et volailles.